Notre histoire
L’association Les Amis des chapelles et calvaires de la région du Lion d’Angers voit le jour dans le Haut-Anjou (49) le 21 janvier 1987.
C’est une simple association locale qui intervient dans un rayon de 20 km autour de la commune du Lion d’Angers. Elle restaure ainsi calvaires, oratoires, chapelles et fontaines.
En 2014, elle est reprise par Paul Ramé, chef d’entreprise et menuisier de formation.
En février 2020, Julien Le Page est nommé Président de l’association. Avec une équipe jeune et dynamique, ils se lancent un défi : restaurer un calvaire par mois.
Il change le nom de l’association qui devient S.O.S. Calvaires. Nouveau nom, nouveau départ, et l’objectif devient une restauration par trimestre.
Grâce à une stratégie de communication efficace, l’association est bientôt connue dans la France entière.
En juillet 2021, le bureau de l’association décide de se développer au niveau national, loue un local de production et embauche ses deux premiers salariés.
Notre devise devient : “STAT CRUX DUM VOLVITUR ORBIS” : Le monde tourne tandis que la Croix reste.
Notre équipe
Direction

Julien Le Page
Président de l'association

Alexandre Caillé
Directeur général

Bertrand Peeters
Trésorier bénévole
Pôle technique

Cyr Guérin
Responsable technique

Clément Dieutre
Bénévole

Paul Ramé
Bénévole
Pôle patrimoine

Edouard Bodin
Responsable patrimoine

Guillaume Ros
Architecte du patrimoine
Pôle communication / mécénat

Marguerite-Marie Le Page

Séraphine Cottin

Jeanne Cumet
Communication
Nos bâtisseurs/nos consolatrices
Les Bâtisseurs
A la suite des bâtisseurs de cathédrales, nos bénévoles œuvrent pour restaurer le petit patrimoine chrétien Français, et plus spécifiquement les calvaires.
Les bâtisseurs se regroupent en antennes départementales autour d’un chef d’antenne et de ses adjoints (responsable technique et communication), et font leur affaire de la restauration des calvaires de leur département, à raison d’une action minimum par mois.
Une action va du simple débroussaillage à la restauration complète du calvaire en changeant la croix, quel que soit le matériau utilisé pour fabriquer la croix, bois, pierre, fer forgé.
Lors d’un changement de croix en bois, les antennes font appel à l’atelier de fabrication de croix situé au Lion d’Angers, qui produit sur demande des croix pour les calvaires de France.
Le chef d’antenne doit alors s’assurer d’avoir l’aval de la mairie, et faire venir, en plus des autres bâtisseurs de l’antenne, les habitants du coin pour les sensibiliser à la restauration du patrimoine et témoigner de leur foi de bâtisseur.
Restaurer un calvaire c’est remettre la croix au centre du village, remettre le Christ au cœur de nos vies.
Les Consolatrices
« Marie, la mère de Jésus, Marie-Madeleine et Véroniques sont les figures féminines de la croix que l’on appelle les Consolatrices. Ce sont elles qui nous ont inspirées pour créer cette branche de SOS calvaires. Nous nous sommes aperçues que peu de femmes et de personnes âgées faisaient partie de l’association, car poser des croix est un travail physique ; Ainsi pour rassembler le plus de personnes autour de la croix, nous proposons à nos bénévoles de restaurer les crucifix abandonnés.
Les consolatrices ont le même fonctionnement que nos antennes SOS calvaires. Chaque antenne est autonome pour trouver des crucifix, préparer des kits, les distribuer et ensuite revendre ces Christ restaurés.
Si vous voulez rejoindre les consolatrices, adressez-vous à l’antenne la plus proche de chez vous :
Angers : soscalvairesconsolatrices49@gmail.com
Nantes : soscalvairesconsolatrices44@gmail.com
Rennes : soscalvairesconsolatrices35@gmail.com
Saint-Malo : consolatricessaintmalo@gmail.com
Saumur : consolatricessaumur@gmail.com
Vendée : soscalvairesconsolatrices85@gmail.com
Lyon : soscalvairesconsolatriceslyon@gmail.com
PACA : soscalvairesconsolatrices13@gmail.com
Brest : consolatricesbrest@gmail.com
Nièvre :
soscalvairesconsolatrices58@gmail.com
Tours : soscalvairesconsolatrices37@gmail.com
Haute Savoie : consolatrices74@gmail.com
Puy de Dôme : soscalvairesconsolatrices63@gmail.com
Loiret : soscalvairesconsolatrices45@gmail.com
Pour toute autre information : consolatrices@soscalvaires.org
“Restaurer les crucifix abandonnés et délaissés, c’est leur redonner leur place d’honneur dans nos maisons. C’est une façon de marquer notre amour pour le Christ crucifié et de le transmettre aux enfants qui voient ou participent à la restauration, c’est enfin un moyen de remettre notre Seigneur au centre de nos vies, et d’implorer sa miséricorde pour nous et pour le monde entier. »

Télécharger notre charte associative
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Aigrefeuille. Au chevet de quatre calvaires menaçant ruine
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A Dinan, le public invité à l'édification d'un calvaire qui avait disparu
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01/08/2023 Casson (44) : un calvaire restauré par SOS Calvaires
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Faire (re)vivre les pierres dans les campagnes des Deux-Sèvres
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17/05/2023 Radio Présence : Sauver les calvaires de notre région
Sauvegarder, entretenir et restaurer les calvaires, oratoires et chapelles de notre territoire, c’est l’objectif de l’association SOS Calvaires qui compte une antenne à Toulouse.
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Nantes : le calvaire des Enfants nantais rafraîchi par SOS calvaires
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L'EST Républicain : La Croix de la Criante restaurée par SOS Calvaires
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Le Progrès : L’association SOS Calvaires a restauré deux croix
Samedi 13 mai, l’association SOS Calvaires a rénové deux croix. L’une située à l’entrée de la commune à côté de la rivière, l’autre à côté des……
Marc Eynaud : «Il y a une volonté de s'en prendre au christianisme»
Au lendemain des fêtes pascales, d’importantes dégradations ont été commises dans l’église Sainte-Madeleine d’Angers dans le Maine-et-Loire.
Number of adult baptisms in France rises again this year as crucifixes are erected
There was significant rise in the number of baptisms at this year’s Easter vigil in France, according to figures published before the Easter Triduum by the French…
Crucifixes rise across France in message that ‘this is a Christian country’
Balanced on a tractor fork, the crucified Christ rises. Those gathered to watch sing hymns, gazing up at a five-metre cross towering above them as it is lowered.
Pipriac. L’association SOS Calvaires restaure des monuments
Les bénévoles de l’association départementale SOS Calvaires, œuvrent pour le patrimoine local. Ils ont entièrement restauré la croix de la Crochardais.
DES SAUVEURS DE CALVAIRES ARRIVENT DANS L’INDRE
L’association angevine SOS Calvaires ouvre une antenne dans l’Indre. Leur première réalisation a été inaugurée samedi 18 février 2023 à Argy.
RESTAURATION DE LA CROIX DU CARREFOUR DE LA ROUTE DE BEAUMONT
Au carrefour de la route de la Mitaine et de la route du Bouchoux s’élève une Croix de Mission , établie en 1861 , maintenant un peu cachée par un gros marronnier.
Young Catholics Restoring Wayside Crucifixes Across France
The apostolate SOS Calvaires, founded in 1987 in western France, seeks to preserve the Catholic monuments, oratories and chapels that dot the French landscape.
Comment expliquez-vous le développement et la notoriété grandissante de SOS Calvaires ?
SOS Calvaires a été créée en 1987. Cette petite association locale ne faisait pas de bruit mais s’est essoufflée au fil des années. En 2014, elle est reprise par un jeune homme de 25-30 ans qui change le nom…
Soulaire-et-Bourg. Le calvaire du chemin de la Moucherie restauré
C’est dans un froid glacial qu’une nouvelle croix a été posée au calvaire du chemin de la Moucherie à Soulaire, samedi 17 décembre, en présence de Philippe Kersimon…
SOS Calvaires : une association au service d’un petit patrimoine à valoriser
En France, les calvaires sont une composante importante du patrimoine. Symboles par excellence du christianisme, ils sont les témoins de la foi des générations qui nous ont précédés…
«Remettre la croix au centre du village»: avec «S.O.S Calvaires»
Dans leur atelier au Lion-d’Angers, l’association «S.O.S Calvaires» restaure le patrimoine chrétien. Nous avons suivi ceux qui revendiquent vouloir «remettre la croix au centre du village».
Héric. Deux calvaires remis en état à La Croix-Erraud
Samedi, une équipe de jeunes membres de l’association SOS Calvaires a procédé à un travail de nettoyage de la croix Camaro, proche d’une autre croix située au carrefour de la Croix-Erraud.
Auchay-sur-Vendée. Le grand calvaire a bénéficié d’une restauration
Erigé en 1892, lors d’une mission prêchée par les Rédemptoristes, le grand calvaire, situé route de Fontenay-le-Comte, vient de bénéficier d’une restauration exemplaire
Un nouveau calvaire au hameau de Lesseville à Aincourt

La croix de la route de Beaumont a été sécurisée

Erdre-en-Anjou. Le calvaire de La Fourrerie refait à neuf
Lors d’un passage pour la restauration d’une croix dans le secteur, un membre de l’association « SOS calvaires », de l’antenne de l’Ain*, a vu que la croix bougeait.
French volunteers join Armenian Christians to revive the Cross
Young French volunteers are helping restore Armenian crosses, elaborately carved stones that once dotted the countryside and are now an endangered species.
Une nouvelle croix érigée sur un chemin
Samedi, sur la commune de Saint-Dier-d’Auvergne, l’association SOS calvaires a érigé une croix de chemin en remplacement de l’ancienne très abîmée.
A Chemazé, ils restaurent une ancienne chapelle
Aujourd’hui, la chapelle Saint Joseph reprend vie à Chemazé, dans le sud Mayenne. Une restauration menée par Raphaël Le Pelletier de Glatiny et ses proches.
Le Lion-d'Angers. Avec du chêne produit dans la région
L’association SOS Calvaires est présidée par Julien Lepage depuis 2019. Mais la réalisation des croix en bois est l’apanage d’Éloi Verly, le charpentier.
Ils rénovent des calvaires en Mayenne et dans le Maine-et-Loire
L’association Sos calvaires, basée en Maine-et-Loire, rénove un calvaire par mois dans tout le Haut-Anjou. Samedi 20 février 2021, ses membres étaient à Ampoigné (Mayenne).
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Il n’existe aucune règle générale ! Lorsqu’un calvaire est implanté sur un terrain privé, par exemple dans un champ, il appartient en principe au propriétaire de ce terrain. De même, lorsqu’un calvaire est implanté sur le domaine public d’une commune, il est présumé appartenir à la commune.
Cependant, il existe des cas particuliers. Il peut arriver que des calvaires aient été édifiés sur le domaine public (ou privé) à l’initiative de fidèles ou de paroisses. Dans ce cas, le calvaire reste leur propriété ou celle de leurs ayants-droits (héritiers).
Lorsque l’on s’interroge sur la propriété d’un calvaire, on peut interroger les personnes habitant à proximité, les services de la Mairie s’il se trouve sur le domaine public communal ou en limite, ou les services du Département s’il se trouve en bordure d’une route départementale.
S’il se trouve sur une parcelle privée (un champ, un bois…), il est possible de retrouver le propriétaire de cette parcelle, tout d’abord en recherchant les références cadastrales de la parcelle (sur le site officiel www.cadastre.gouv.fr) puis en interrogeant le service de la publicité foncière (SPF) du département.
Il peut aussi arriver qu’un calvaire n’ait plus de propriétaire connu. Le calvaire est alors un bien vacant, que l’on qualifie en droit de res nullius (s’il n’a jamais appartenu à personne) ou de res derelictae (s’il a été abandonné). Dans ce cas, le calvaire est réputé appartenir à la commune sur le territoire de laquelle il est implanté [1]. Si la commune renonce à son droit, la propriété du calvaire revient à l’Etat.
[1] Article 713 du code civil ; article L. 1123-1 du code général de la propriété des personnes publiques.
La restauration d’un calvaire nécessite l’accord préalable de son propriétaire, qu’il s’agisse d’un propriétaire privé ou d’une collectivité publique. Cette autorisation est également nécessaire pour pénétrer sur le terrain. Si des travaux de restauration étaient entrepris sans son autorisation, il est peu probable que le propriétaire demande une remise en état (si la restauration a été bien exécutée !), mais il pourrait demander un dédommagement.
Il importe aussi de vérifier que le calvaire n’est pas classé ou inscrit aux monuments historiques, cas dans lequel les travaux devraient être exécutés sous le contrôle scientifique et technique des services de l’État chargés des monuments historiques (DRAC), et en cas de classement, avec le concours d’un architecte en chef des monuments historiques (ACMH), ou qu’il ne se trouve pas dans un périmètre de protection.
Les collectivités locales sont en principe tenues par une obligation générale de conservation de leur domaine public et par une obligation d’entretien normal des biens relevant de leur domaine public (et privé). Pour cette raison, elles doivent en principe entretenir et restaurer les éléments de patrimoine religieux dont elles sont propriétaires.
Cette obligation d’entretien est renforcée lorsque les monuments religieux en question font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques (MH) ou d’une inscription à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques (ISMH).
Cependant, si les collectivités n’assument pas cette obligation, il est souvent difficile de les y contraindre. Elles disposent d’une grande marge d’appréciation pour décider des travaux à réaliser ou pour décider de sanctionner les atteintes à l’intégrité de leur domaine public. La conservation des monuments relevant du domaine public des communes, lorsqu’ils ne sont pas l’objet d’une protection patrimoniale particulière, ressort donc en grande partie de la bonne volonté des élus locaux.
Il n’est plus possible, depuis 1905, d’édifier un calvaire, ou tout autre monument religieux, sur un emplacement public. L’article 28 de la loi du 9 décembre 1905 interdit en effet « d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit ».
Cette interdiction ne s’applique cependant qu’aux « emplacements publics », c’est-à-dire, aux rues, places et terrains appartenant à des collectivités publiques : elle ne fait pas obstacle à ce qu’un nouveau calvaire soit édifié sur une propriété privée visible depuis la voie publique.